
C’est un peu plus tard qu’un dénommé « Clappier des Vincendières », village de la vallée d’Avérole fit parler de lui. Il a sûrement appris la sculpture grâce à des artistes de passage. Sa première œuvre date de 1624 : il s’agit de 2 anges porte-flambeaux sculptés pour l’autel de la Vierge à Termignon. Le bas-relief du centre de l’autel sculpté lui aussi par Jean Clappier est d’une perfection totale ; il représente la Vierge entourée d’angelots, Saint François d’Assise agenouillé et saint Dominique. C’est en examinant ce tableau que les spécialistes ont déterminé que l’auteur avait forcément complété son éducation auprès d’un Maître à la fois sculpteur et orfèvre. A cette période, le baroque lui inspire des figures caractéristiques et en 1629 il termine le rosaire et l’autel de la Vierge à Lanslevillard, village ou il s’est marié. C’est son œuvre la plus connue et classée depuis longtemps par les Monuments historiques. 12 ans plus tard il sculpte la Vierge à l’enfant et Sainte Anne pour la chapelle de la Goulaz (Bessans) d’une qualité rare. En 1643, pour l’église d’Avérole, il sculpte encore la Vierge, sa mère et son fils mais ces statues sont très différentes ; il s’agit certainement de portraits. Sur toutes les œuvres de Jean Clappier, on retrouve successivement ou conjointement des influences baroques, romanes voire même espagnoles. Certaines de ses œuvres ne sont pas signées comme le grand crucifix de l’église de Bessans ; on peut penser que sa signature a été effacée par des restaurations successives ou qu’à l’époque il n’avait pas encore la maîtrise de la corporation des maîtres sculpteurs.
Après lui, son fils Antoine signe l’autel des Carmes de l’église de Bessans en 1666. L’influence du père est visible.

Jean-Baptiste Clappier a aussi signé de nombreuses œuvres seul à partir de 1681, toutes plus petites et notamment dans les chapelles d’Avérole et de Notre Dame des Grâces. On retiendra deux grandes statues de la Vierge et de Saint Jean, à la chapelle Saint Antoine de Bessans, toutes deux signées Jean-Baptiste Clappier et d’une très grande qualité.
De nombreuses autres œuvres datées des 18 et 19èmes siècles sont signées Clappier ; le dernier sculpteur bessanais du même patronyme est Sébastien Clappier dit Sébastien des « Bon Dieu » 1797-1871.


Depuis 1919, Bessans a connu de nombreux sculpteurs ; chacun travaillant son diable ou sa poule à sel lors des longues veillées d’hiver ; en 1993, Georges Personnaz a décidé d’ouvrir sa galerie d’art « Au Chapoteur » ; la première et la seule à ce jour ; aujourd’hui c’est son fils Fabrice qui a repris le flambeau. Ainsi se perpétue la tradition.

C’est ainsi qu’Étienne qui sculptait de nombreux saints se mit à sculpter des diables et à les vendre.

C’est un peu plus tard qu’un dénommé « Clappier des Vincendières », village de la vallée d’Avérole fit parler de lui. Il a sûrement appris la sculpture grâce à des artistes de passage. Sa première œuvre date de 1624 : il s’agit de 2 anges porte-flambeaux sculptés pour l’autel de la Vierge à Termignon. Le bas-relief du centre de l’autel sculpté lui aussi par Jean Clappier est d’une perfection totale ; il représente la Vierge entourée d’angelots, Saint François d’Assise agenouillé et saint Dominique. C’est en examinant ce tableau que les spécialistes ont déterminé que l’auteur avait forcément complété son éducation auprès d’un Maître à la fois sculpteur et orfèvre. A cette période, le baroque lui inspire des figures caractéristiques et en 1629 il termine le rosaire et l’autel de la Vierge à Lanslevillard, village ou il s’est marié. C’est son œuvre la plus connue et classée depuis longtemps par les Monuments historiques. 12 ans plus tard il sculpte la Vierge à l’enfant et Sainte Anne pour la chapelle de la Goulaz (Bessans) d’une qualité rare. En 1643, pour l’église d’Avérole, il sculpte encore la Vierge, sa mère et son fils mais ces statues sont très différentes ; il s’agit certainement de portraits. Sur toutes les œuvres de Jean Clappier, on retrouve successivement ou conjointement des influences baroques, romanes voire même espagnoles. Certaines de ses œuvres ne sont pas signées comme le grand crucifix de l’église de Bessans ; on peut penser que sa signature a été effacée par des restaurations successives ou qu’à l’époque il n’avait pas encore la maîtrise de la corporation des maîtres sculpteurs.
Après lui, son fils Antoine signe l’autel des Carmes de l’église de Bessans en 1666. L’influence du père est visible.

Jean-Baptiste Clappier a aussi signé de nombreuses œuvres seul à partir de 1681, toutes plus petites et notamment dans les chapelles d’Avérole et de Notre Dame des Grâces. On retiendra deux grandes statues de la Vierge et de Saint Jean, à la chapelle Saint Antoine de Bessans, toutes deux signées Jean-Baptiste Clappier et d’une très grande qualité.
De nombreuses autres œuvres datées des 18 et 19èmes siècles sont signées Clappier ; le dernier sculpteur bessanais du même patronyme est Sébastien Clappier dit Sébastien des « Bon Dieu » 1797-1871.


Depuis 1919, Bessans a connu de nombreux sculpteurs ; chacun travaillant son diable ou sa poule à sel lors des longues veillées d’hiver ; en 1993, Georges Personnaz a décidé d’ouvrir sa galerie d’art « Au Chapoteur » ; la première et la seule à ce jour ; aujourd’hui c’est son fils Fabrice qui a repris le flambeau. Ainsi se perpétue la tradition.

C’est ainsi qu’Étienne qui sculptait de nombreux saints se mit à sculpter des diables et à les vendre.

C’est un peu plus tard qu’un dénommé « Clappier des Vincendières », village de la vallée d’Avérole fit parler de lui. Il a sûrement appris la sculpture grâce à des artistes de passage. Sa première œuvre date de 1624 : il s’agit de 2 anges porte-flambeaux sculptés pour l’autel de la Vierge à Termignon. Le bas-relief du centre de l’autel sculpté lui aussi par Jean Clappier est d’une perfection totale ; il représente la Vierge entourée d’angelots, Saint François d’Assise agenouillé et saint Dominique. C’est en examinant ce tableau que les spécialistes ont déterminé que l’auteur avait forcément complété son éducation auprès d’un Maître à la fois sculpteur et orfèvre. A cette période, le baroque lui inspire des figures caractéristiques et en 1629 il termine le rosaire et l’autel de la Vierge à Lanslevillard, village ou il s’est marié. C’est son œuvre la plus connue et classée depuis longtemps par les Monuments historiques. 12 ans plus tard il sculpte la Vierge à l’enfant et Sainte Anne pour la chapelle de la Goulaz (Bessans) d’une qualité rare. En 1643, pour l’église d’Avérole, il sculpte encore la Vierge, sa mère et son fils mais ces statues sont très différentes ; il s’agit certainement de portraits. Sur toutes les œuvres de Jean Clappier, on retrouve successivement ou conjointement des influences baroques, romanes voire même espagnoles. Certaines de ses œuvres ne sont pas signées comme le grand crucifix de l’église de Bessans ; on peut penser que sa signature a été effacée par des restaurations successives ou qu’à l’époque il n’avait pas encore la maîtrise de la corporation des maîtres sculpteurs.
Après lui, son fils Antoine signe l’autel des Carmes de l’église de Bessans en 1666. L’influence du père est visible.

Jean-Baptiste Clappier a aussi signé de nombreuses œuvres seul à partir de 1681, toutes plus petites et notamment dans les chapelles d’Avérole et de Notre Dame des Grâces. On retiendra deux grandes statues de la Vierge et de Saint Jean, à la chapelle Saint Antoine de Bessans, toutes deux signées Jean-Baptiste Clappier et d’une très grande qualité.
De nombreuses autres œuvres datées des 18 et 19èmes siècles sont signées Clappier ; le dernier sculpteur bessanais du même patronyme est Sébastien Clappier dit Sébastien des « Bon Dieu » 1797-1871.


Depuis 1919, Bessans a connu de nombreux sculpteurs ; chacun travaillant son diable ou sa poule à sel lors des longues veillées d’hiver ; en 1993, Georges Personnaz a décidé d’ouvrir sa galerie d’art « Au Chapoteur » ; la première et la seule à ce jour ; aujourd’hui c’est son fils Fabrice qui a repris le flambeau. Ainsi se perpétue la tradition.

C’est ainsi qu’Étienne qui sculptait de nombreux saints se mit à sculpter des diables et à les vendre.

C’est un peu plus tard qu’un dénommé « Clappier des Vincendières », village de la vallée d’Avérole fit parler de lui. Il a sûrement appris la sculpture grâce à des artistes de passage. Sa première œuvre date de 1624 : il s’agit de 2 anges porte-flambeaux sculptés pour l’autel de la Vierge à Termignon. Le bas-relief du centre de l’autel sculpté lui aussi par Jean Clappier est d’une perfection totale ; il représente la Vierge entourée d’angelots, Saint François d’Assise agenouillé et saint Dominique. C’est en examinant ce tableau que les spécialistes ont déterminé que l’auteur avait forcément complété son éducation auprès d’un Maître à la fois sculpteur et orfèvre. A cette période, le baroque lui inspire des figures caractéristiques et en 1629 il termine le rosaire et l’autel de la Vierge à Lanslevillard, village ou il s’est marié. C’est son œuvre la plus connue et classée depuis longtemps par les Monuments historiques. 12 ans plus tard il sculpte la Vierge à l’enfant et Sainte Anne pour la chapelle de la Goulaz (Bessans) d’une qualité rare. En 1643, pour l’église d’Avérole, il sculpte encore la Vierge, sa mère et son fils mais ces statues sont très différentes ; il s’agit certainement de portraits. Sur toutes les œuvres de Jean Clappier, on retrouve successivement ou conjointement des influences baroques, romanes voire même espagnoles. Certaines de ses œuvres ne sont pas signées comme le grand crucifix de l’église de Bessans ; on peut penser que sa signature a été effacée par des restaurations successives ou qu’à l’époque il n’avait pas encore la maîtrise de la corporation des maîtres sculpteurs.
Après lui, son fils Antoine signe l’autel des Carmes de l’église de Bessans en 1666. L’influence du père est visible.

Jean-Baptiste Clappier a aussi signé de nombreuses œuvres seul à partir de 1681, toutes plus petites et notamment dans les chapelles d’Avérole et de Notre Dame des Grâces. On retiendra deux grandes statues de la Vierge et de Saint Jean, à la chapelle Saint Antoine de Bessans, toutes deux signées Jean-Baptiste Clappier et d’une très grande qualité.
De nombreuses autres œuvres datées des 18 et 19èmes siècles sont signées Clappier ; le dernier sculpteur bessanais du même patronyme est Sébastien Clappier dit Sébastien des « Bon Dieu » 1797-1871.


Depuis 1919, Bessans a connu de nombreux sculpteurs ; chacun travaillant son diable ou sa poule à sel lors des longues veillées d’hiver ; en 1993, Georges Personnaz a décidé d’ouvrir sa galerie d’art « Au Chapoteur » ; la première et la seule à ce jour ; aujourd’hui c’est son fils Fabrice qui a repris le flambeau. Ainsi se perpétue la tradition.

C’est ainsi qu’Étienne qui sculptait de nombreux saints se mit à sculpter des diables et à les vendre.

C’est un peu plus tard qu’un dénommé « Clappier des Vincendières », village de la vallée d’Avérole fit parler de lui. Il a sûrement appris la sculpture grâce à des artistes de passage. Sa première œuvre date de 1624 : il s’agit de 2 anges porte-flambeaux sculptés pour l’autel de la Vierge à Termignon. Le bas-relief du centre de l’autel sculpté lui aussi par Jean Clappier est d’une perfection totale ; il représente la Vierge entourée d’angelots, Saint François d’Assise agenouillé et saint Dominique. C’est en examinant ce tableau que les spécialistes ont déterminé que l’auteur avait forcément complété son éducation auprès d’un Maître à la fois sculpteur et orfèvre. A cette période, le baroque lui inspire des figures caractéristiques et en 1629 il termine le rosaire et l’autel de la Vierge à Lanslevillard, village ou il s’est marié. C’est son œuvre la plus connue et classée depuis longtemps par les Monuments historiques. 12 ans plus tard il sculpte la Vierge à l’enfant et Sainte Anne pour la chapelle de la Goulaz (Bessans) d’une qualité rare. En 1643, pour l’église d’Avérole, il sculpte encore la Vierge, sa mère et son fils mais ces statues sont très différentes ; il s’agit certainement de portraits. Sur toutes les œuvres de Jean Clappier, on retrouve successivement ou conjointement des influences baroques, romanes voire même espagnoles. Certaines de ses œuvres ne sont pas signées comme le grand crucifix de l’église de Bessans ; on peut penser que sa signature a été effacée par des restaurations successives ou qu’à l’époque il n’avait pas encore la maîtrise de la corporation des maîtres sculpteurs.
Après lui, son fils Antoine signe l’autel des Carmes de l’église de Bessans en 1666. L’influence du père est visible.

Jean-Baptiste Clappier a aussi signé de nombreuses œuvres seul à partir de 1681, toutes plus petites et notamment dans les chapelles d’Avérole et de Notre Dame des Grâces. On retiendra deux grandes statues de la Vierge et de Saint Jean, à la chapelle Saint Antoine de Bessans, toutes deux signées Jean-Baptiste Clappier et d’une très grande qualité.
De nombreuses autres œuvres datées des 18 et 19èmes siècles sont signées Clappier ; le dernier sculpteur bessanais du même patronyme est Sébastien Clappier dit Sébastien des « Bon Dieu » 1797-1871.


Depuis 1919, Bessans a connu de nombreux sculpteurs ; chacun travaillant son diable ou sa poule à sel lors des longues veillées d’hiver ; en 1993, Georges Personnaz a décidé d’ouvrir sa galerie d’art « Au Chapoteur » ; la première et la seule à ce jour ; aujourd’hui c’est son fils Fabrice qui a repris le flambeau. Ainsi se perpétue la tradition.

C’est ainsi qu’Étienne qui sculptait de nombreux saints se mit à sculpter des diables et à les vendre.

C’est un peu plus tard qu’un dénommé « Clappier des Vincendières », village de la vallée d’Avérole fit parler de lui. Il a sûrement appris la sculpture grâce à des artistes de passage. Sa première œuvre date de 1624 : il s’agit de 2 anges porte-flambeaux sculptés pour l’autel de la Vierge à Termignon. Le bas-relief du centre de l’autel sculpté lui aussi par Jean Clappier est d’une perfection totale ; il représente la Vierge entourée d’angelots, Saint François d’Assise agenouillé et saint Dominique. C’est en examinant ce tableau que les spécialistes ont déterminé que l’auteur avait forcément complété son éducation auprès d’un Maître à la fois sculpteur et orfèvre. A cette période, le baroque lui inspire des figures caractéristiques et en 1629 il termine le rosaire et l’autel de la Vierge à Lanslevillard, village ou il s’est marié. C’est son œuvre la plus connue et classée depuis longtemps par les Monuments historiques. 12 ans plus tard il sculpte la Vierge à l’enfant et Sainte Anne pour la chapelle de la Goulaz (Bessans) d’une qualité rare. En 1643, pour l’église d’Avérole, il sculpte encore la Vierge, sa mère et son fils mais ces statues sont très différentes ; il s’agit certainement de portraits. Sur toutes les œuvres de Jean Clappier, on retrouve successivement ou conjointement des influences baroques, romanes voire même espagnoles. Certaines de ses œuvres ne sont pas signées comme le grand crucifix de l’église de Bessans ; on peut penser que sa signature a été effacée par des restaurations successives ou qu’à l’époque il n’avait pas encore la maîtrise de la corporation des maîtres sculpteurs.
Après lui, son fils Antoine signe l’autel des Carmes de l’église de Bessans en 1666. L’influence du père est visible.

Jean-Baptiste Clappier a aussi signé de nombreuses œuvres seul à partir de 1681, toutes plus petites et notamment dans les chapelles d’Avérole et de Notre Dame des Grâces. On retiendra deux grandes statues de la Vierge et de Saint Jean, à la chapelle Saint Antoine de Bessans, toutes deux signées Jean-Baptiste Clappier et d’une très grande qualité.
De nombreuses autres œuvres datées des 18 et 19èmes siècles sont signées Clappier ; le dernier sculpteur bessanais du même patronyme est Sébastien Clappier dit Sébastien des « Bon Dieu » 1797-1871.


Depuis 1919, Bessans a connu de nombreux sculpteurs ; chacun travaillant son diable ou sa poule à sel lors des longues veillées d’hiver ; en 1993, Georges Personnaz a décidé d’ouvrir sa galerie d’art « Au Chapoteur » ; la première et la seule à ce jour ; aujourd’hui c’est son fils Fabrice qui a repris le flambeau. Ainsi se perpétue la tradition.

C’est ainsi qu’Étienne qui sculptait de nombreux saints se mit à sculpter des diables et à les vendre.
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Les sculptures sur bois de Bessans et leurs sculpteurs sont des piliers importants de l'art baroque savoyard, dont voici brièvement l'historique.
NOS ILLUSTRES PRÉDÉCESSEURS
Un Peu d'Histoire


GEORGES PERSONNAZ
Georges Personnaz est né le 23 avril 1941.
Il a passé sa jeunesse à Paris et y a étudié la chaudronnerie ; ensuite il a fait l’armée en Algérie ; à son retour, comme beaucoup de bessanais, il a exercé le métier de chauffeur de taxi pendant une dizaine d’années. En 1974, il est revenu au pays pour s’occuper du tout nouvel office du tourisme ; il en était le directeur mais comme il était aussi le seul employé, il endossait aussi bien le costume du balayeur que celui d’agent d’accueil. C’est à cette époque qu’il débuta la sculpture sur bois. En effet, les agriculteurs de Bessans proposaient au sein d’un art local leurs œuvres aux touristes (diables, poules à sel, saints et autres sculptures religieuses...) et comme l’office du tourisme gérait cet art local, il avait toute la journée devant ses yeux, les sculptures baroques des bessanais. Il s’est alors dit « Pourquoi ne pas essayer de m’y mettre ? ».
C’est en essayant de copier le meilleur sculpteur de diable de l’époque : Germain Boniface que naquit sa vocation. Petit à petit, il se perfectionna et en 1993, après s’être mis en disponibilité pour construire sa maison, il décida de devenir professionnel en créant sa propre galerie d’art alpin « Le Chapoteur ». Ce sculpteur et peintre a travaillé aussi de 1978 à 1993 comme chargé de mission auprès de la communauté de communes et a été élu maire en 1983 ; poste qu’il occupa jusqu’en 1989.
À ce jour, il est à la retraite (depuis 2001).
MIEUX NOUS CONNAÎTRE

FABRICE PERSONNAZ
Il est né à Versailles en 1973 mais a toujours vécu à Bessans.
Après des études de vente, il obtint en 1992 son BTS ; parallèlement, il passe son monitorat de ski alpin et commença à travailler à l’Ecole de Ski de Bonneval sur Arc en décembre 1992.
Après plusieurs jobs d’été, comme son père, il travailla dans une annexe de l’office du tourisme en 1997, et c’est à cette époque qu’il débuta la sculpture. Grâce à l’enseignement de son père, il évita certains coups de gouge dans les doigts et trouva sa vocation de sculpteur sur bois. C’est en 2001 qu’il repris la suite de son père dans la galerie d'art alpin « Le Chapoteur » située à coté de la place de la mairie, rue du Saint Esprit.
À ce jour, il est le seul artisan sculpteur sur bois professionnel de Bessans.